Le Scottish Terrier
Le Scottish Terrier, aussi appelé Terrier écossais est en français, est un petit chien de la famille des terriers, comme son nom l’indique. Il est surnommé Scottie par les amateurs de la race.
Le Scottish Terrier, aussi appelé Terrier écossais est en français, est un petit chien de la famille des terriers, comme son nom l’indique. Il est surnommé Scottie par les amateurs de la race.
Malheureusement, on sait assez peu de choses sur les origines exactes du Scottish Terrier. Un terrier de petite taille était présent depuis de nombreux siècles en Écosse, son pays de naissance. Il faut en revanche attendre le XIXe siècle pour que le nom de Scottish Terrier apparaît pour la première fois dans un ouvrage naturaliste. On attribue la création de la race actuelle au capitaine Mackie, qui découvrit ces chiens lors d’un voyage en Écosse. Le premier standard de la race a été établi en 1879.
Le Scottish Terrier a été très populaire en France dans les années 30. S’il a été longtemps utilisé comme chien de chasse, c’est aujourd’hui surtout un chien de compagnie et d’exposition. Le West Highland White Terrier, lui aussi écossais, est plus présent dans l’imaginaire collectif que son cousin.
La race a été officiellement reconnue en 1954.
Le Scottish Terrier est un chien de petit gabarit, avec de longues franges de poils au niveau des mâchoires, qui lui donne l’impression d’avoir une moustache tombante.
Il appartient au groupe n°3 de la FCI : Terriers et porte le n°73.
Corps : le corps est trapu, avec une ligne supérieure bien droite. Le dos est court et bien musclé, de même que le rein. La poitrine est plutôt large.
Tête : la tête est assez longue par rapport au corps, mais reste bien proportionnée. Le crâne est presque plat et le stop est léger. La truffe est noire et grande.
Oreilles : elles sont pointues, de texture fine et bien attachées au sommet du crâne. Elles ne doivent surtout pas être trop grandes.
Yeux : ils ont en amande, de couleur brun foncé et bien écartés. Ils doivent être placés sous les sourcils et afficher une expression intelligente.
Queue : elle est de longueur moyenne et épaisse à la base, mais s’affine vers le bout. Elle est portée droite ou légèrement recourbée.
Poil : le poil de couverture est rêche, en fil de fer, et bien dense, tandis que le sous-poil est doux et dense lui aussi.
Couleur : le standard accepte le noir, le froment ou le bringé de n’importe quelle autre couleur.
Mâles comme femelles mesurent entre 25 et 28 cm au garrot, pour un poids compris entre 8 et 10 kg. Avoir un chien de ce gabarit présente certains avantages non négligeables. Voyager avec votre chien sera notamment beaucoup plus facile, même si votre toutou devra quand même voyager dans la soute en avion, car il pèse plus de 6 kg. Dans le train, il devra aussi être muselé.
Le budget accordé à la nourriture sera moins élevé que pour un grand chien ou un chien géant, qui mange des kilogrammes de croquettes chaque mois. Si vous avez un budget assez serré, pensez-y !
Le Scottish Terrier ne s’entend pas toujours très bien avec ses congénères, d’où l’intérêt d’une sociabilisation solide et précoce. Les chiens de même sexe, notamment, sont parfois belliqueux entre eux. Attention aussi si vous souhaitez le faire cohabiter avec des chats ou des NAC, car il conserve un fort instinct de chasse. Il apprécie en revanche la présence d’enfants.
Ne choisissez pas votre race de chien sur un coup de tête. Vous devez impérativement vous renseigner sur les caractéristiques de votre futur compagnon, et notamment sur son tempérament. C’est la clé d’une adoption réussie. Ne privilégiez jamais l’aspect esthétique, même si vous pouvez avoir des préférences. Choisissez toujours un animal dont le mode de vie et le caractère correspondent bien aux vôtres.
Comme beaucoup de chiens de chasse, le Terrier écossais est un chien intelligent. Il comprend assez facilement ce que l’on attend de lui, mais ne partez pas gagnant non plus, car il n’est pas toujours facile à éduquer !
Il voue une très grande fidélité à son maître. Il se montre même protecteur avec lui, même si en raison de sa taille, ce n’est pas un bon chien de garde.
Le Scottie est joueur et dynamique. Il apprécie de se dépenser, sans non plus tomber dans l’excès, et fait donc un bon camarade de jeu pour les enfants, tant que ces derniers respectent bien l’animal.
Ce toutou est réputé pour être indépendant et bien supporter la solitude. Il n’est pas le plus affectueux des chiens, mais sait quand même se montrer tendre. Si vous cherchez un pot de colle, il n’est pas fait pour vous !
Le Scottish Terrier est méfiant avec les étrangers et est un bon chien d’alerte. Il n’est pas agressif et ne présente pas de danger particulier, mais vous devez quand même bien le sociabiliser pour éviter les soucis.
C’est encore un classique des chiens de chasse ! Ils ont tendance à s’enfuir dès que l’odeur d’une proie vient leur chatouiller les naseaux. Soyez donc prudent et ne détachez votre compagnon à quatre pattes que dans des endroits bien sécurisés.
Le Scottish Terrier ne convient pas vraiment pour une première adoption en raison de son caractère parfois têtu. Son éducation nécessite de solides connaissances et son futur propriétaire devra se montrer ferme pour ne pas se laisser dépasser. Cependant, si vous souhaitez vraiment un Scottie, faites appel à un éducateur compétent pour vous aider.
Le Scottish Terrier vit en moyenne entre 12 et 15 ans, des chiffres tout à fait respectables pour un animal de ce gabarit, même si les aléas de la vie (accidents, maladies) ne sont pas non plus à exclure.
Prenez soin de votre compagnon pour le garder le plus longtemps possible à vos côtés.
La nourriture a un rôle essentiel sur la santé du chien et ne doit pas être laissée au hasard. Privilégiez les croquettes et les pâtées de très bonne qualité, et surtout, bien adaptées à votre boule de poils !
Le Scottie a besoin de se dépenser. Sortez-le tous les jours et passez du temps avec lui afin de lui éviter l’ennui. La santé mentale est aussi importante que le reste.
Consultez le vétérinaire tous les ans pour effectuer les rappels de vaccin et vérifier que votre toutou est en forme, surtout lorsqu’il commence à vieillir. Traitez-le correctement contre les puces, les tiques, ainsi que contre les vers intestinaux.
Cette pathologie héréditaire est rare, mais il faut la connaître. Elle se caractérise par un problème de coagulation sanguine, qui provoque des saignements plus longs et une cicatrisation plus difficile. Il existe trois types, le type III étant le plus grave. Il n’existe aucun traitement définitif, mais un suivi vétérinaire permet de gérer la maladie.
Il s’agit en réalité de ce que l’on appelle une hypertonicité musculaire épisodique. Elle se manifeste par crises, qui entraînent des troubles moteurs. Ces crises ne sont pas douloureuses, et le chien se déplace parfaitement normalement lorsqu’il n’est pas atteint.
Le Scottish Terrier est sujet aux maladies de peau. Il faut donc se montrer particulièrement vigilant, notamment avec son toilettage, pour éviter que des soucis apparaissent.
Comme c’est souvent le cas, sur le papier, une maison avec un jardin est idéale pour le Scottie, mais en réalité, ce chien peut vivre partout, tant que son propriétaire lui accorde suffisamment de temps. Vivre en ville est donc tout à fait possible pour lui, d’autant qu’il s’agit d’un chien plutôt calme, qui a peu tendance à aboyer.
Ce chien peut sans problème vivre en appartement ! Là encore, c’est avant tout le temps que vous allez lui consacrer qui pèsera dans la balance. Si vous vous en occupez correctement et que vous le sortez suffisamment longtemps chaque jour, votre Scottish Terrier sera parfaitement heureux en appartement !
Il faut bien comprendre comment fonctionne l’éducation canine avant de se lancer. En effet, ne vous lancez pas au petit bonheur la chance. Ce n’est pas non plus parce que votre boule de poils est de petit gabarit qu’il n’a pas besoin d’être éduqué, bien au contraire. Ne faites pas cette erreur.
La première chose à faire est d’abandonner les idées de dressage à l’ancienne. Il n’est plus question, de nos jours, d’utiliser de la violence, physique ou verbale, pour obtenir ce que l’on veut de son compagnon à quatre pattes. Au contraire, soyez positif et encourageant. Motivez votre Scottish Terrier lorsqu’il se comporte bien, et ignorez les mauvais comportements, lorsque vous le pouvez. Utilisez des récompenses comme des friandises, des caresses ou des compliments.
Et la punition dans tout ça ? Elle n’est pas à éliminer complètement de votre arsenal, mais elle doit être utilisée avec parcimonie. Et pas question, encore une fois, de frapper votre Scottish Terrier : ignorez-le, arrêtez un jeu ou refusez-lui une friandise.
Essayez de commencer le plus tôt possible. Les chiots sont très réceptifs à l’apprentissage, car ils sont en pleine découverte du monde. Il s’agit donc d’une période critique. Cependant, laissez un peu de temps à votre petit Terrier écossais pour qu’il s’habitue à son changement d’environnement.
Il est aussi important de définir un cadre bien défini pour votre boule de poils. Les chiens aiment la routine et ont besoin d’un environnement équilibré pour bien s’épanouir.
Vous avez envie d’adopter un Scottish Terrier adulte ? Pas de panique. Il est aussi possible d’éduquer un chien adulte, à condition d’adopter la bonne méthode. Vous devez impérativement prendre en compte le passé de l’animal, qui est parfois traumatisant. Il sera souvent nécessaire de gommer de mauvaises habitudes. N’hésitez pas à faire appel à un éducateur canin pour mettre toutes les chances de votre côté.
Rien de plus simple pour bien réussir à éduquer votre toutou. Vous devez vous montrer :
La patience est essentielle, surtout avec un chiot. Il ne peut pas toujours tout comprendre du premier coup. Cela ne sert donc à rien de vous énerver s’il ne fait pas tout bien du premier coup. Soyez conciliant avec lui !
La répétition des exercices est essentielle pour bien apprendre les ordres. Prenez une petite quinzaine de minutes tous les jours. Des séances trop longues ne sont pas bénéfiques pour votre petit toutou, qui ne pourrait pas rester concentré.
Soyez cohérent ! Dans le cas contraire, votre Scottish Terrier ne comprendrait tout simplement pas ce que vous attendez de lui. Vous devez poser des limites dès le départ. Choisissez des ordres clairs et faciles à dire. Demandez également à tous vos proches de suivre votre exemple.
Autre point à ne pas négliger : la sociabilisation de votre Scottish Terrier. La période charnière se situe entre le deuxième et le quatrième mois. Il est important que votre petit toutou fasse plusieurs rencontres positives avec d’autres chiens, de tout gabarit, d’autres animaux et d’autres personnes. C’est de cette façon qu’il n’aura pas de réaction de peur face à ce qu’il ne connaît pas.
L’alimentation d’un chien est un paramètre très important dans sa santé ! Une nourriture de qualité permet à votre Scottish Terrier de rester plus longtemps en vie, dans de bonnes conditions. Mais encore faut-il faire les bons choix, ce qui n’est pas toujours évident, car de nos jours, vous pouvez trouver des centaines de produits différents. Comment trouver les bonnes croquettes pour Scottish Terrier ou les bonnes pâtées ? Voici quelques conseils qui vous permettront de faire plus facilement le tri.
Avant toute chose, vous devez bien comprendre les besoins nutritionnels de votre chien. Ces besoins dépendent de plusieurs paramètres, comme son âge ou son poids. Bien évidemment, ces besoins sont très différents des nôtres, car il ne faut pas oublier que les chiens sont des carnivores. Ils ont besoin, en priorité, de protéines d’origine animale. Attention, donc, aux croquettes vegan !
Autre point à prendre en compte : les glucides. Limitez la consommation afin de ne pas favoriser la prise de poids, et donc l’apparition d’obésité chez votre toutou. Le surpoids peut avoir de terribles conséquences. Ne prenez pas de risque.
Il est important de comprendre ce que l’on met dans la gamelle de son Scottish Terrier. Heureusement, les fabricants sont tenus d’indiquer la composition des produits, qu’il s’agisse de croquettes pour chien ou de pâtées. Il ne vous reste donc plus qu’à lire les étiquettes des produits afin de savoir comment ils ont été fabriqués. Notre conseil : attention aux compositions trop longues, qui cachent souvent des ingrédients de mauvaise qualité. Prêtez aussi attention aux taux de protéines, de glucides, de lipides ou de cendres.
Nous vous conseillons de ne pas acheter les croquettes ou pâtées dans des grandes surfaces ou des supermarchés. En effet, les marques d’entrée de gamme que l’on y trouve ne sont pas de très bonne qualité. Le prix est avantageux, mais les matières premières le sont beaucoup moins. Choisissez plutôt des produits de qualité vétérinaire, pas forcément plus chers. Et si vous faisiez appel à un service de croquettes sur mesure ?
Il faut que la nourriture de votre Scottish Terrier évolue en même temps que lui. Les jeunes chiens ne mangent pas la même chose que les autres, notamment les chiens âgés. Quoi de plus normal, alors, que le régime change lui aussi au fur et à mesure que votre toutou vieillit ? Parlez-en avec votre vétérinaire afin de mettre en place une transition alimentaire.
Il est tout à fait possible de préparer soi-même les repas de son compagnon, mais il faut avoir conscience que cela demande du temps et de l’argent. Ne vous lancez pas non plus dans l’aventure sans en avoir parlé avec votre vétérinaire. Vous avez deux options : la ration ménagère et le régime BARF. Choisissez celui le plus adapté à votre Scottish Terrier.
Le toilettage du Scottish Terrier ne doit pas être négligé, car ce toutou demande beaucoup d’entretien, surtout si vous comptez l’utiliser pour participer à des concours de beauté ou à des expositions. Seul point positif : cette race perd assez peu ses poils. Malgré tout, il faut le brosser au moins une fois par semaine avec une brosse pour chien adaptée et prendre régulièrement rendez-vous chez le toiletteur.
Lavez votre chien seulement si vous savez comment vous y prendre et si vous utilisez de bons produits. Si vous n’êtes pas certain de vous, demandez plutôt conseil à un professionnel, car des produits non adaptés pourraient provoquer des maladies de peau chez votre Scottish Terrier.
Faites attention aux yeux de votre Scottish Terrier. Nettoyez-les au moins une fois par semaine, en prenant soin d’utiliser des compresses de gaze plutôt que des ronds de coton (qui laissent des microfibres derrière eux). En cas d’écoulements anormaux ou de corps étrangers dans l’œil, prenez rapidement rendez-vous chez le vétérinaire.
Nettoyez les oreilles de votre compagnon à quatre pattes au moins une fois toutes les deux semaines. C’est un endroit où les parasites et les saletés aiment se loger. Utilisez des produits bien appropriés et surveillez de près l’apparition de cérumen noirâtre et malodorant, qui pourrait être le signe de gale des oreilles.
Une mauvaise hygiène dentaire peut être néfaste pour votre Scottish Terrier. Il faut donc prendre soin de ses dents en les brossant régulièrement. Pour vous faciliter la tâche, apprenez à votre petit toutou à bien supporter la brosse à dents et le dentifrice pour chien le plus tôt possible. Vous pouvez aussi lui donner des objets à mâcher pour entretenir ses gencives.
Des griffes trop longues risquent de blesser votre Scottish Terrier. Si votre compagnon est assez actif, il y a de fortes chances pour qu’il use naturellement ses ongles, mais cela n’est pas toujours le cas. Vous devez alors tailler les griffes vous-même. L’opération n’est pas toujours évidente, alors en cas de doute, demandez conseil à un vétérinaire ou à un toiletteur.
Combien coûte un chiot de race Scottish Terrier dans un élevage ? La fourchette de prix est comprise entre 1 000 et 1 500 euros. Les différences peuvent s’expliquer par un certain nombre de critères, qu’il est important de connaître avant de vous décider. Par exemple, les prix sont parfois plus élevés si le chien est destiné à participer à des concours ou s’il est issu d’une lignée de parents champions.
Vous devez, dans tous les cas, bien choisir votre élevage, car tous les éleveurs n’ont pas toujours une éthique louable. Visitez les élevages pour observer l’environnement des animaux et posez des questions à l’éleveur afin de savoir s’il connaît bien son métier et qu’il ne veut que le bonheur de ses animaux.
Nous vous déconseillons, par ailleurs, de vous adresser à des particuliers qui vendent leurs animaux sans les déclarer, car vous n’aurez pas les mêmes garanties en cas de problème. Acheter un chien de race représente toujours un budget important. Si vous n’avez pas les moyens, dirigez-vous plutôt vers des associations ou des refuges.
Le Scottish Terrier est un chien rustique et robuste. Il résiste bien aux intempéries et pourrait donc dormir dans votre jardin. Achetez-lui une niche pour chien adaptée à son gabarit, ni trop petite ni trop grande : votre boule de poils ne s’y sentirait pas à l’aise. Autre point à prendre en compte, le matériel de la niche. Choisissez des niches en bois, plus solides et mieux isolées.
L’installation de la niche a aussi son importance. Placez l’abri dans un endroit dégagé de votre terrain. N’attachez pas votre Scottish Terrier devant sa niche, car il doit pouvoir se réfugier ou fuir en cas de danger. Clôturez bien votre jardin pour éviter les risques de fugue.
Le Scottish Terrier n’est pas un chien de garde. Il pourra éventuellement donner l’alerte en aboyant, mais sa petite taille n’est pas dissuasive. À ce titre, des personnes mal intentionnées pourraient même essayer de vous le dérober.
Même s’il est assez indépendant, le Scottish Terrier appréciera de dormir avec vous, dans votre logement, si vous lui préparez un coin nuit confortable. C’est important, car dans le cas contraire, votre toutou ne fermerait pas l’œil de la nuit, et vous non plus.
Achetez un panier pour chien qui doit lui aussi être adapté au gabarit de votre Scottish Terrier. Quid du matériau ? Si votre boule de poils a tendance à la destruction, nous vous conseillons de choisir un panier en plastique. Méfiez-vous, dans tous les cas, des paniers en osier, car détruits, ils présentent un risque d’ingestion, d’étouffement et d’occlusion intestinale.
Installez le coin nuit dans un lieu calme, comme un bureau ou un coin du salon. Évitez aussi les endroits très passants, où votre compagnon à quatre pattes risquerait d’être dérangé. Vous avez des enfants ? Alors apprenez-leur bien à ne pas déranger votre Scottish Terrier lorsqu’il se repose !
Le Scottish Terrier est assez sportif, même s’il l’est moins que d’autres toutous, comme les chiens de berger, souvent de véritables piles électriques. Sortez votre compagnon tous les jours au cours d’une longue promenade d’une heure, avec quelques sorties en plus pour lui permettre de faire ses besoins.
Pensez aussi aux jouets pour chien, essentiels pour permettre à votre compagnon à quatre pattes de tromper l’ennui. Choisissez-les bien solides pour ne pas prendre le risque qu’il les brise et en avale de petits bouts.
Vous pouvez tout à fait participer à plusieurs activités canines avec votre boule de poils. Le canicross, par exemple, est bon pour votre santé et celle de votre Scottish Terrier. Il a du flair : pourquoi ne pas essayer les activités de pistage ? N’hésitez pas non plus à vous essayer à l’agility, l’obéissance ou le treibball !
American Bully : Un chien affectueux et sociable !
Boxer : Un chien équilibré, protecteur et courageux !
Spitz : Un chien très attaché à son maître, éveillé et attentif !
Shar-Peï : Un chien calme, très intelligent et solide !
Malamute : Un chien sportif, dynamique et très affectueux !
Si vous êtes chasseur, alors vous devrez assurer votre Scottish Terrier tout le long de la saison de la chasse, au même titre que votre matériel. En revanche, si ce n’est pas le cas, vous n’aurez pas besoin de prendre une assurance pour chien particulière.
Les animaux de compagnie sont souvent couverts par les assurances de responsabilité civile de leur propriétaire. Grâce à cette assurance, vous pouvez être remboursé de certains frais, si votre toutou comment des dégâts ou est à l’origine d’un accident.
Cependant, lisez bien la moindre ligne du contrat pour bien prendre connaissance des clauses d’exclusion et éviter ainsi les mauvaises surprises.
La mutuelle pour chien n’est pas obligatoire, mais peut s’avérer bien utile lorsque l’on s’y attend le moins. Les maladies et les accidents sont imprévisibles, et les frais vétérinaires, dans le cas de problèmes graves, s’élèvent parfois à plusieurs centaines, voire plusieurs milliers d’euros.
La mutuelle fonctionne de la même manière que nos propres mutuelles : en cotisant, vous avez droit aux remboursements de certaines interventions. Tout dépend de votre type de contrat. Certains sont basiques, d’autres très complets. Il est donc impératif de bien le lire avant de signer et de choisir celui qui correspond à vos besoins, mais aussi à votre budget.